La presse en parle

« Ainsi s’entrelacent dans un souffle plein de pudeur l’histoire d’une maladie générant mort et discriminations et la tragédie personnelle d’une famille comme inoculée par le mauvais sang du malheur. »
- Sean James Rose, Livres Hebdo -

« Les Enfants endormis touche en plein cœur. »
- Léonard Desbrières, Technikart -

« Anthony Passeron écrit à partir du déni familial, pour enfin assumer la totalité du passé des siens. »
- Marie-Laure Delorme, Journal du Dimanche -

« Un des meilleurs premiers romans de la rentrée (…) Un texte important, très maîtrisé et d’une immense pudeur. »
- Sylvie Tanette, Les Inrocks -

« Vous pouvez apprendre par coeur déjà le nom d’Anthony Passeron avec Les Enfants Endormis. Ça sort chez Globe et vous allez en entendre beaucoup parler... et c’est tant mieux ! »
- Olivia de Lamberterie, France 2, Télématin -

« Le livre alterne le récit de la vie de Désiré, de celle de sa fille, et de courts chapitres qui décrivent, avec une simplicité informative, la découverte du sida, le rôle des différents protagonistes et les étapes de la recherche jusqu’à la mise au point de l’AZT, de 1981 au milieu des années 90.
Cette sorte d’effet miroir donne un côté exemplaire à la destinée de Désiré. »
- Frédérique Roussel, Libération -

« Ce roman de filiation même avec pudeur l’enquête sociologique et l’histoire intime pour mieux extirper l’oncle désiré de sa condition de paria afin de réhabiliter une famille qui s’est, depuis, brisée en mille morceaux, faute d’avoir su alors mettre des mots sur ses maux. »
- Muriel Steinmezt, L’Humanité -

« C’est cette double histoire, de tragédie familiale et de cataclysme mondial, qui nourrit ce roman qui prend aux tripes. (...) Avec délicatesse et science, Anthony raconte les combats parallèles d’une famille et des chercheurs français. Pour ne pas oublier. »
- Marianne Payot, L’Express -

« Virtuose, l'auteur mêle habilement la tendresse de la quête intime à la quasi-sécheresse de la recherche historique ou sociologique. (...) Ce récit bouleversant sur les ravages de la drogue et du VIH est aussi une prodigieuse arme contre I’oubli. »
- Télé Z -

« (...) C’est enfin un des leurs qui prend la plume et met les mots pour raconter les siens, et bien plus encore. Devenir écrivain. Bravo ! »
- Françoise Feuillet, Avantages -

« Absolument magistral ! »
- Samuel Loutaty, Biba -

« ON AIME : le style tout en sobriété, l’acuité des analyses sociologiques, l’élégance mélancolique dont fait montre l’auteur pour mêler l’intime et le collectif, le secret familial et l’enquête médicale dans un récit à deux voix à la fois impeccablement documenté et profondément émouvant. »
- Minh Tran Huy, Madame Figaro -

« Anthony Passeron signe un grand roman sur l’oubli, porté par une langue précise et sobre. »
- Gladys Marivat, Lire/Le Magazine littéraire -

« Etonnant premier roman d’Anthony Passeron qui propose une plongée dans les années sida. (...)
Un vrai coup de coeur. »
- Dominique Jeay, La Dépêche du Midi -

« Fine, précise, sans ambages, l’écriture d’Anthony Passeron souligne à merveille la façon dont la fierté familiale cède peu à peu la place à la honte et à l’omerta. (...) Un livre fort et poignant. »
- Slate -

Les libraires aiment

« Anthony Passeron confronte avec pudeur et sobriété le récit d’un drame familial, terré derrière le silence et la honte, à celui d’un combat scientifique.
- Alexandra, LIBRAIRIE LA MADELEINE -

« Un premier roman prodigieux, inoubliable»
- Aurélie Janssens, LIBRAIRIE PAGE ET PLUME -

« Il raconte les débuts du VIH et convoque les morts pour leur offrir une sépulture de mots. Écrit avec humilité, bienveillance, intelligence et courage, il fait jaillir la beauté danseuse chaos. »
- Cyrille Falisse, LIBRAIRIE LES PAPIER COLLÉS -

« Une magnifique écriture, très forte qui parvient à dire l’indicible avec une extrême douceur. »
- Thomas Chardon, LIBRAIRIE DU PINCERAIS -

« Alternant entre chronique familiale et histoire du virus avec les étapes de la recherche, Les enfants endormis sont un formidable tableau sociologique et une radioscopie aussi passionnante qu’implacable des désastres liés à la drogue et à la maladie. »
- Stéphanie Férial, LIBRAIRIE LE PAVÉ DU CANAL -

« Une précieuse enquête sur l’histoire du Sida et sur le combat mené par malades et chercheurs contre ce nouveau mal ainsi qu’un récit poignant et d’une profonde tendresse dans l’intimité d’une famille aux prises avec les changements économiques et sociaux de l’époque. »
- Jérôme, LIBRAIRIE CHRONIQUES -

« Anthony Passeron puise dans son histoire familiale pour exposer les ravages que peuvent causer le silence, le déni, l’ignorance. »
- Aurélie Barlet, LIBRAIRIE LA PLÉIADE -